Des initiatives multiples ont actuellement lieu
dans de nombreuses écoles de la ville pour mettre à l’abri les famillles
totalement démunies de camarades de nos enfants qui dorment dehors par
grand froid. Malgré le traumatisme encouru, ces enfants ont pourtant à
cœur de revenir étudier chaque jour.
Le
comité de soutien mis en place à Doisneau a pris des décisions pour
alerter, comme chaque année, les autorités sur une situation qui fait mal au cœur à quiconque côtoie ces enfants. Cependant, cette année
les choses vont plus loin, avec la volonté de mettre les
familles à l’abri dans l’école pendant la nuit, tant qu’une solution
plus humaine que l’abandon dans le froid n’aura pas été mise en place. La journée, la vie de l'école n'est pas entravée par cette occupation temporaire.
Le comité de soutien est en grande partie composé de parents et de personnels de l'école qui déployent des efforts pour obtenir des RV, pour parlementer, trouver des locaux, des vêtements, des couvertures, de la nourriture et assurer une permanence pendant la nuit sur les lieux occupés. Ils apportent aussi de la fraternité qui est une valeur que l’école souhaite transmettre à nos enfants.
Le comité de soutien est en grande partie composé de parents et de personnels de l'école qui déployent des efforts pour obtenir des RV, pour parlementer, trouver des locaux, des vêtements, des couvertures, de la nourriture et assurer une permanence pendant la nuit sur les lieux occupés. Ils apportent aussi de la fraternité qui est une valeur que l’école souhaite transmettre à nos enfants.
L’encadrement
policier qui accompagne l’occupation
des écoles du quartier ne correspond pas à une situation idéale, et le comité regrette que cet effort humain et financier ne soit pas plutôt redirigé sur l'ouverture de centres d'hébergement.
Vous pouvez être informés de la situation en vous procurant les communiqués qui sont régulièrement distribués devant la porte de l'école. Si vous voulez vous aussi aider les enfants et leur famille, n’hésitez pas à rejoindre le comité en contactant comite.doisneau@gmail.com.
Hier, le journal Libération a consacré sa une, ainsi que plusieurs articles, à cette situation :