lundi 18 juillet 2016

[Maternelle]Quelques petits conseils pour que la rentrée se passe bien

Quelques petits conseils :
  • Habillez votre enfant avec des vêtements pratiques non fragiles.
  • Ne montrez pas votre inquiétude, plus vous serez décontracté, plus votre visage sera serein, plus votre enfant sera rassuré.
  • N’oubliez pas que la dernière bise est la plus importante mais il faut savoir prendre la décision de s’en aller.
  • Les pleurs se poursuivent plusieurs jours chez les petits, mais ils cessent en général dans les minutes qui suivent votre départ.
  • Soyez à l’heure pour venir chercher votre enfant, l’heure des mamans et des papas est attendue avec impatience.
  • Il se passe beaucoup de choses dans une cour de récréation. Les enseignants qui exercent une surveillance permanente ne peuvent pas empêcher des échanges parfois un peu trop vifs. Les jouets et les bonbons apportés de la maison par les enfants provoquent des jalousies bien difficiles à contenir.
  • Ranger les doudous dans un sac transparent et les tétines dans une boîte en plastique.
  • Marquez les vêtements, les chaussures, les doudous ou les tétines de vos enfants.

vendredi 1 juillet 2016

Les écoles des pentes ne décolèrent pas !



Lien vers le site du progrès : http://www.leprogres.fr/lyon/2016/07/01/les-ecoles-des-pentes-ne-decolerent-pas

Reportage France 3

France 3 ne s'est finalement pas déplacé pour rien. Un reportage plutôt fidèle a été monté et diffusé hier dans l'édition du Grand Lyon.
Merci à Guillaume pour l'interview.
Voici le lien, le reportage commence vers 3'53.

Amphithêatre des 3 Gaules


L'amphithéâtre des Trois Gaules est un élément du sanctuaire fédéral des Trois Gaules érigé en 12 avant JC par Drusus à Lugdunum et dédié au culte de Rome et d'Auguste célébré par les soixante nations gauloises. Rassemblement annuel qui se tenait le 1er Août, date anniversaire de la prise d'Alexandrie et aussi fête de Lug, dieu solaire gaulois vénéré sur la colline de Fourvière. Cet amphithéâtre se situait au pied de la colline de la Croix Rousse au confluent du Rhône et de la Saône de l’époque.

Le premier amphithéâtre

Vers 19 après J.C., fut construit un amphithéâtre identifié définitivement en 1958 lors de la découverte sur le site même du monument d’une partie d’une inscription dédicatoire. On y apprend que Tibère César Auguste et que Caius Iulius Rufus, prêtre de Rome et d’Auguste ont fait construire à leurs frais un amphithéâtre avec son podium. Cet amphithéâtre, le plus ancien de la Gaule était de dimensions modestes : 67 x 42 mètres. La cavea (partie d’un théâtre romain ou d’un amphithéâtre où se trouvent les gradins sur lesquels s’assoient les spectateurs) était constitué d’un podium et bordée d’un mur, quatre gradins et était capable d’accueillir environ 1800 spectateurs. Un canal, en bordure de l’arène, évacuait les eaux de ruissellement.
Cet amphithéâtre était consacré à deux usages principaux :
  • Le plus officiel résidait dans son rôle de rassemblement annuel des peuples, les anciennes tribus celtiques
  • L’amphithéâtre servait aussi pour les fêtes populaires le plus souvent sanglantes, combats de gladiateurs entres eux ou contre des bêtes féroces, et massacre de chrétiens. Le martyre de 177 se signale par la mort de Blandine livrée aux bêtes.

L’agrandissement de l’amphithéâtre

Il semble qu’au IIème siècle, le monument a été agrandi. Deux galeries furent ajoutées autour de l’ancien amphithéâtre portant ses dimensions à 143 x 117 mètres. Cet agrandissement est porté à l’actif de Caius Iulius Celsus, procurateur de Lyonnaise et d’Aquitaine. Il pouvait recevoir plus de 20 000 personnes et ouvert aux habitants de Lugdunum, à l’occasion des jeux du cirque.
Lors du 1er Août, les délégués des soixante nations se rassemblent devant l’autel monumental pour témoigner leurs dévotions à Rome. Cet autel et son soubassement de 50 mètres de long sont en marbre, deux victoires ailées se dressent à leur côté, elles sont en bronze doré et tiennent de grandes palmes et des couronnes d’or. Elles sont posées sur des colonnes de granit terminées par des chapiteaux ioniques en porphyre.
Les solennités religieuses consistaient en sacrifices, processions, jeux, concours d’éloquence et de poésie.

Le déclin

Si pendant deux siècles, la colline joue un rôle national en constituant un grand centre de rassemblement, elle perd ensuite cette fonction.
Ce déclin provient peut être du report du confluent plus au sud de la ville et surtout des diverses épreuves subies par Lyon dés la fin du IIème siècle : pillages et incendies par les armées de Septime Sévère (197), puis par les barbares Alamans (274 et 280) et autres envahisseurs déferlant sur la région jusque au Vème siècle.
Inutilisé depuis la fin du IIIème siècle, il fut recouvert de vigne et de jardin.

Redécouverte de l’amphithéâtre

Un plan de Lyon du XVIème siècle indique la présence encore visible de quelques arcs et de l’arène dit « Corbeille de la Déserte ».
Les premières fouilles entre 1818 et 1820 révélèrent le pourtour de l’arène.
A la fin du XVIIIème siècle, il avait disparu en surface, car on avait remblayé le terrain de plusieurs mètres pour y implanter le jardin botanique.
Il fallut attendre 1960 pour que des fouilles sérieuses soient entreprises sous la direction d'Amable Audin et avec l'appui de Louis Pradel, maire de Lyon, afin de redécouvrir ce monument.
En 2007, la ville de Lyon et la Communauté Urbaine ont engagé des études préalables à une mise en valeur de l’ensemble du site, qui, si elle est menée à bien, devrait impliquer de nouvelles fouilles.


http://www.patrimoine-lyon.org/la-colline-de-la-croix-rousse/le-bas-des-pentes/amphitheatre-3-gaules

Quelques monuments historiques classés à Lyon

Amphithéâtre fédéral romain des Trois Gaules

Lyon, autrefois Lugdunum Capitale des Gaules, possède le plus ancien Amphithéâtre romain de la Gaule.
Situé sur les pentes de la colline de la Croix-Rousse, l'Amphithéâtre achevé en 19 après J-C, permettait d'accueillir spectacles et jeux de cirque.

Adresse : Rue des tables claudiennes / Rue terme croix rousse / Burdeau, Lyon
Liens :  http://www.lyon.fr/lieu/patrimoine/amphitheatre-romain-des-trois-gaules.html


Aqueduc gallo-romain du Gier dit aussi du Mont-Pilat 

L’aqueduc du Gier, construit entre le Ier siècle et le IIème siècle de notre ère, alimentait en eau la ville antique de Lugdunum. Depuis son point de départ au Mont Pilat où il captait l’eau du Gier, il parcourait 86 kilomètres avec une alternance de sections enterrées et de section aériennes.

Aujourd’hui, une partie de ces vestiges gallo-romains est encore visible, notamment sur la commune de Chaponost au lieu dit Le Plat de l’Air, où une enfilade d’arches, visible dans toute son élévation, s’étend sur 550 m et se termine par le réservoir de chasse du pont siphon d’Yzeron.

La particularité de ce monument vient de son parement réticulé, parement de petites pierres à face carrée de 10 cm de côté, disposées en biais et évoquant les mailles d’un filet.

Cet ensemble est exceptionnel en France, voire en Europe, de part l’importance du linéaire encore en élévation et la qualité architecturale de la construction.

Grâce au mécénat de la Fondation Total, la Fondation du patrimoine a pu apporter un mécénat permettant de restaurer, en 2009 et 2010, 12 des 72 arches encore existantes.

Époque : Gallo-romain / 1er quart 2e siècle
Liens : 
http://www.valleedugarontourisme.fr/Aqueduc-romain-du-Gier_a20.html
http://archeolyon.araire.org/AqueducsLyon/index1.html
http://www.araire.org/IMG/pdf/recapitulatif_aqueducs-2.pdf

Basilique de Fourvière
 
Vouée à  la Vierge depuis le XIIème siècle,  la Colline de Fourvière, appelée par les Lyonnais « La colline qui prie »,  est un haut lieu de la Cité. Les édifices religieux furent construits sur l’emplacement de l’ancien Forum de Trajan (Forum vetus) dont elle tire son nom. Cet ensemble  patrimonial, inclus dans le périmètre classé au Patrimoine mondial  de l’Humanité, est inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.

Époque : 4e quart 19e siècle
Liens : 
http://www.patrimoine-lyon.org/colline-de-fourviere/fourviere/basilique
http://www.lyon-visite.info/basilique-fourviere-lyon/



Café du Rhône
Le Café du Rhône, est un café-restaurant situé 23 quai Augagneur à Lyon en France.
Le décor intérieur de boiseries et les céramiques peintes de différents lieux lyonnais (l'Île Barbe, la passerelle Saint-Georges, l'aqueduc du Gier, le pont de la Guillotière et le parc de la Tête d'Or) font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 21 décembre 19841.

Depuis le 10 mars 2003, le café est labellisé « Patrimoine du XXe siècle ».


Époque : 1er quart 20e siècle
Adresse : 23 Quai Victor Augagneur, 69003 Lyon

Cathédrale Saint-Jean
 

Cette cathédrale était en fait une primatiale puisque le chef de l’église française a longtemps été l’archevêque de Lyon, le primat des Gaules. Le pouvoir religieux a compté ici. Des fouilles archéologiques ont mis à jour les traces de 3 édifices religieux accolés remontant en partie au 4ième siècle. Il reste, jouxtant la cathédrale et abritant son trésor, ce qui est sans doute le plus vieil édifice du quartier (en partie du 11ième siècle), la Manécanterie.

Son horloge astronomique est l’une des plus anciennes d’Europe (1383, au moins) et donnera l’heure exacte jusqu’en 2019… Elle sonne plusieurs fois par jour avec un défilé de personnages. L'ENS Lyon lui a consacré une page scientifique très détaillée.

Liens :
http://www.patrimoine-lyon.org/Vieux-Lyon/Saint-Jean-2/la-cathedrale
http://www.lyon-visite.info/vieux-lyon/ 
http://www.ens-lyon.fr/RELIE/Cadrans/Musee/HorlogesAstro/Lyon/Cathedrale.htm

Château et le fort de la Motte (ancien)

Sur la rive gauche du Rhône, il existe un certain nombre de petites éminences naturelles : le nom de celle qui nous intéresse, aussi écrit LA MOTTE ou LAMOTHE vient du fait qu’elle a très probablement porté une "motte" féodale (XI°-XII° siècles). Située au sud-est du faubourg de la Guillotière, elle devait contrôler le nœud routier des communications vers l’est et le sud de Lyon, à la frontière entre le Dauphiné et le Lyonnais.

Le site a sûrement été créé artificiellement à l'époque gallo-romaine afin de mettre ses habitants hors de portée des inondations, et d' assurer une bonne visibilité et de conforter la position stratégique du lieu, au débouché des routes reliant Lyon aux Alpes, à l'Italie et à la vallée du Rhône, bien avant l’urbanisation du quartier de la Guillotière.  

Au cours des siècles, principalement à la Renaissance, ce château médiéval a subi diverses modifications.

Le château Lamothe possède des tours rondes et carrées, un donjon, et une cour d’honneur sur laquelle ouvre la porte d’entrée. Les façades et les toitures sont inscrites à l’inventaire complémentaire des Monuments historiques depuis le 4 novembre 1983.

Le château Lamothe est aujourd’hui le dernier château médiéval de la rive gauche de Lyon. Des fouilles sont en cours et le site en pleine réhabilitation.

Adresse : 37 rue du repos, Lyon

Liens :
http://www.museemilitairelyon.com/spip.php?article105
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_La_Motte_%28Lyon%29
http://www.rhone-medieval.fr/index.php?page=accueil&dept=69&chateau=46&PHPSESSID=gjoragu4nruh7hi34q005km770
http://www.patrimoine.rhonealpes.fr/dossier/chateau-dit-chateau-de-la-motte/0e5bde7a-6959-4520-a2d2-c6faf80f9c4d


Château de la Tourette (ancien)

Le château de la Tourette était une demeure de plaisance1 située dans le quartier de La Croix-Rousse à Lyon. Il a été entièrement détruit à l'exception de la porte principale, classée monument historique par arrêté du 22 janvier 19102.

Il fut la propriété du seigneur de Rochebonne, de Jacques Teste et enfin, par mariage, de la famille Mazuyer. Le blason présent au sommet de la porte encore existante, est celui de la famille Mazuyer.

Sur l'emplacement de la demeure, démolie en 1884, l'école normale d'institutrice fut construite et achevée en 1888. Le bâtiment est, depuis, devenu un Institut universitaire de formation des maîtres (IUFM) et à partir du 1er septembre 2013, un collège.

Époque : 16e siècle
Liens : 
http://inventaire-rra.hypotheses.org/603
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_la_Tourette

Collège de la Trinité 

Le collège-lycée Ampère  fut fondé en 1519 par les membres de la confrérie de la Trinité. Il est alors connu sous le nom de collège de la Trinité et est dirigé pendant près de deux siècles par les Jésuites qui l’agrandissent, construisent les chapelles et diversifient l’enseignement (philosophie puis mathématiques, géométrie, astronomie, arts et théâtre).

École centrale sous la Convention, il est l’un des premiers lycées créés par le Consulat, cela par un arrêté du 24 vendémiaire an XI (16 octobre 1802) pris en application de la loi du 11 floréal an X (1er mai 1802). Il est aujourd’hui, en application des lois de décentralisation, lycée polyvalent régional.

De nombreux hommes célèbres ou connus y ont été élèves ou professeurs, parmi lesquels : André-Marie AMPERE, bien sûr, Charles BAUDELAIRE, Alphonse DAUDET, Edgar QUINET, Edouard HERRIOT, Maître Robert BADINTER, Maître André SOULIER, le comédien et metteur en scène Marcel MARECHAL, Bernard PIVOT, Philippe RIBOUD, champion du monde d’escrime et médaillé olympique.

Époque : 17e siècle

Liens :
http://www.enssib.fr/bibliotheque-numerique/documents/64940-le-college-de-la-trinite-histoire-d-une-bibliotheque-et-de-son-cabinet-de-curiosites.pdf


Articles connexes


école et cinéma -


École et cinéma propose aux élèves, de la grande section de maternelle au cours moyen (CM2), de découvrir des œuvres cinématographiques lors de projections organisées spécialement à leur intention dans les salles de cinéma.

Ils commencent ainsi, grâce au travail pédagogique d'accompagnement conduit par les enseignants et les partenaires culturels, une initiation au cinéma.

consulter les dossiers pédagogiques école et cinéma

Aujourd'hui, la participation ou non des élèves de GS pour l'année 2016-2017 n'est pas connue.